Gérer la part d'un successeur prédécédé d'un domaine

Le décès d'un bénéficiaire est l'un des plus gros problèmes pouvant survenir lorsqu'un testament ou une fiducie de vie révocable n'est pas mis à jour régulièrement. Lorsqu'un bénéficiaire décède avant le testateur - la personne qui a quitté le testament - ou le fiduciaire, qu'arrive-t-il à la part du bénéficiaire de la succession ou de la fiducie s'il n'est plus en vie pour la recevoir? Cela dépend de ce que le testament ou la fiducie dit - ou ne dit pas - au sujet de la part du bénéficiaire prédécédé.

Quand le Legs "Déchéance"

Le testament ou la fiducie pourrait dire: "Je donne 20% de mes biens à Bob s'il me survit." Si Bob ne survit pas au testateur ou à la fiduciaire, la part de Bob dans la succession sera «caduque», comme on dit en jargon juridique. En d'autres termes, la part de 20% de Bob ne sera tout simplement pas créée parce qu'il ne vit plus pour l'accepter.

Alors qu'arrive-t-il? Parce que la part n'a jamais été créée, il reste généralement dans la succession à être divisé entre les autres bénéficiaires. Les 20% restants de Bob feraient partie de ce qu'on appelle la «réserve» du domaine - ce qui reste après que des legs spécifiques ont été faits.

Dans la plupart des cas, la résidence de la succession sera transférée à d'autres bénéficiaires survivants. Par exemple, Bob a peut-être reçu 20%, tandis que Sally en recevait 40% et Joe 40%. Parce que les 20% de Bob sont absorbés dans la succession, ce qui en fait plus que ce qu'il aurait été si il avait été en mesure d'accepter sa part, les actions de Sally et Joe grandissent.

Per Stirpes Provisions

Que se passe-t-il si le testament ou la fiducie dit: «Je donne 20% de mes biens à Bob s'il me survit Si Bob ne me survit pas, je donne 20% de ma succession aux descendants alors vivants de Bob, par stirpes. " Par stirpes est plus juridique qui se traduit par «par les racines». Dans ce cas, les racines sont les enfants de Bob.

Si Bob ne vit pas mais qu'il a deux enfants, Sally et Walter, et si Bob n'a pas d'enfants décédés, alors Sally héritera de 10% de la succession et Walter héritera de 10% de la succession. Ils recevraient chacun une part de 50% de la part de Bob.

Que se passe-t-il si Sally est également décédée mais survit à deux enfants, Alex et Zane? Alors Alex recevrait 5 pour cent, Zane recevrait 5 pour cent, et Walter recevrait son original 10 pour cent. Encore une fois, Alex et Zane recevraient chacun 50% de la part de Sally. La part de chaque parent décédé passe également à ses enfants. Si Sally n'avait qu'un enfant, cet enfant aurait hérité de sa totalité de 10%. Parce qu'elle a eu deux enfants, ils doivent le partager également.

Lois sur l'abstinence d'Etat

Et si le testament ou la fiducie déclare: «Je donne 100% de mes biens à Bob», et c'est tout.Rien d'autre n'est écrit. Il n'y a pas d'autres bénéficiaires. Qu'est-ce qui arrive à la part de Bob?

Il sera probablement transmis à la parenté la plus proche du défunt en fonction des lois sur les intestats de son état. Ces lois entrent en jeu lorsqu'un défunt décède sans plan successoral et le tribunal doit essayer de comprendre ce qu'il aurait voulu faire avec sa propriété s'il avait pris la peine d'écrire un testament ou de créer une fiducie de vie.

Mais il n'y a pas de devinettes pour le juge parce que chaque état a une liste prescrite dans ses statuts quant à qui hérite quand cela arrive. C'est ce qu'on appelle la «succession ab intestat».

La part du lion revient souvent au conjoint survivant, les enfants du défunt recevant aussi une part. Il est possible que personne d'autre - pas les frères et sœurs, pas les parents du défunt, et certainement pas les descendants de Bob - ne recevrait rien si le défunt laissait un conjoint survivant et des enfants. Ils hériteraient très probablement de tout, à condition qu'ils ne soient pas décédés avant le testateur. Ils obtiendront 100% de Bob, même si ce n'est pas ce que le défunt voulait ou voulait.

The Bottom Line

Confus, n'est-ce pas? C'est pourquoi je recommande habituellement que les clients mettent à jour leurs testaments ou fiducies après des événements qui changent la vie, comme le décès d'un bénéficiaire désigné.

À long terme, cela permettra d'économiser du temps et de l'argent, et les véritables souhaits du testateur ou du fiduciaire seront clairs et sans ambiguïté.